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Nous sommes au stade de la pandémie où je crée des GIFs rigolos de mon art, et ça a commencé avec Fishmas, une fête un peu débile qui remplace Noël—“Christmas” en anglais—qu’une amie m’a fait connaître en 2019.

En décembre, j’ai fait ce GIF en pensant à mon amie, car je savais que cela lui apporterait un peu de joie en cet hiver éternel de COVIDinsurrection* et parce que je m’en doutais qu’elle le partagerait avec tout ceux qui adorent l’idée de Fishmas, répandant ainsi la joie un peu plus loin. Voici une version de ce GIF qui est compatible avec les portables—celui ci-dessus est dimensionné pour mon site et donc un peu grand pour les SMS.

Pour créer ce GIF, j’ai fini par utiliser des éléments de l’arrière-plan de la peinture originale du poisson pour façonner un bonnet pour lui, un détail qui m’a donné assez de confiance en mes compétences artistiques dans le numérique que j’ai voulu voir quoi d’autre je pourrais faire.

Ce qui nous amène à cette paire. Cela fait une décennie que je peins l’image de l’animal du zodiaque chinois pour marquer le nouvel an et, puisque 2021 cevauche l’année du bœuf commençant en dix jours, j’avais déjà réalisé cette image d’une une maman vache-licorne et son bébé.

Il est devenu une question de résoudre comment GIFfer l’image, un puzzle qui m’a emmené sur des chemins ringards impliquant tous les filtres de mon éditeur de photos. J’ai finalement opté pour ce thème du cœur, comme ça c’est aussi un GIF pour la Saint-Valentin pour les personnes qui aiment envoyer de l’amour à leurs parents ou à leurs enfants. Ceci est la version pour texto.

Cet écureuil est la première de mes aventures dans le monde du GIF qui n’est pas liée à une fête en particulier. C’est une animation simple à deux images, mais elle m’a fait comprendre que ma nouvelle obsession avec les GIFs est une expression de la soupe temporale, car ces simples animations répétitives ressemblent beaucoup à la vie en confinement.

Voici la version pour portable, et vous pouvez acheter des impressions et des t-shirts avec l’image de l’écureuil, sans animation bien évidemment.

J’ai peint cet écureuil en 2019, mais puisque l’idée de dénouer son cerveau correspond tout à fait à l’humeur de l’isolement incessant de cette pandémie, il m’a semblé juste de l’animer. Cette version a les dimensions pour SMS.

Je ne sais pas combien de temps ça va durer cet enthousisme pour le GIFfement de mon art, mais, pour l’instant, cela fait partie de toute une batterie d’activités de soins personnels que j’utilise pour conserver ma santé mentale. Créer des GIF, expérimenter dans la cuisine avec des résultats souvent succulents et parfois immangeables, et faire des tutoriels de danse sur YouTube: ce sont mes bouées de sauvetage.